Les étudiants de la classe de 2TCOM ont trouvé différentes manières d’adapter leur loisirs aux restrictions sanitaires.
Si les cinémas, salles de sports ou écoles de musique sont fermés depuis octobre dernier, les étudiants en deuxième année de BTS Communication essaient de garder le moral et adaptent la pratique de leurs loisirs aux circonstances. En dehors du lycée, ils ont tendance à vouloir se divertir afin de relâcher la pression des cours. D’autant plus en période de fin d’année, avec l’arrivée des examens finaux qui stressent les élèves. Heureusement pour les étudiants, il est toujours possible de se divertir d’une manière ou d’une autre.
L’intérêt des loisirs
Entre jeux vidéos, sport, musique ou encore lecture, chacun a sa manière de se divertir. D’ailleurs tous les élèves de la classe pratiquent au moins un loisir et 60% d’entre eux y consacrent plus de 2 h par semaine. En attendant la réouverture des cinémas, ils se contentent de regarder des films via des plateformes de streaming comme Netflix ou Prime Vidéo.
Du piano à distance
Si beaucoup d’étudiants ont suspendu leurs activités sportives en club ou en salle, certains d’entre eux n’ont pas retiré cette pratique de leur quotidien. “Après la fermeture des salles depuis le confinement, je prends une heure de mon temps pour aller courir dans un parc proche de chez moi”, explique Rania Abdelaziz.
C’est une autre histoire pour la musique. Certains artistes proposent des concerts en direct auxquels il est possible d’assister depuis un téléphone ou ordinateur. Mais pour les étudiants, il est difficile de s’adapter à cette nouvelle pratique. “Je préfère vivre le moment présent plutôt qu’être seule derrière un écran et regarder un concert”, estime Candice Thebe.
Hélène Ley qui pratique le piano depuis l’âge de 8 ans a trouvé la parade pour continuer sa passion. Elle peut suivre les cours de son école de musique grâce à des visioconférences. “ J’ai 45 minutes de piano par semaine avec ma professeure à distance.”, explique-t-elle, “Ce n’était pas possible pendant le premier confinement.”
En attendant la reprise d’une vie normale, les étudiants s’adaptent, mais ils espèrent tout de même retrouver leur vie d’avant et pratiquer à nouveau leurs loisirs sans restrictions.
Anissa Abarkan