Vous avez sûrement du croiser dans la rue, de bonne heure, ce mercredi 10 octobre 2018, des étudiants vêtues d’un t-shirt rouge. Ils étaient armés de journal et de beaucoup d’imagination pour vous distribuer, avec sourire, le complément de la presse du DNA écrit par des lycéens de la veille. Ce n’était d’autre que des journalistes d’un jour. Nous les avons suivit pendant l’aventure de Journaliste d’Un JourLe grand jour en préparation :
Tout a commencé pour eux quant ils ont du choisir des animations pour la distribution de ces journaux et des moyens de promouvoir leur événement. C’est par petit groupe de 2 à 4 personnes qu’ils ont pu y réfléchir. Une fois la validation des projets, les voilà lancer dans la préparation des animations.
Une équipe a décidé de s’intéresser à la relation intergénérationnelle. Après de nombreux refus du à des délais un peu court, elles ont réussi à avoir une intervention dans une école primaire et une maison de retraite.
Leur idée ? Faire dessiner les enfants de l’école primaire de Mundolsheim pour leur communication, c’est à dire, leur faire créer des affiches pour l’événement tout en les sensibilisant à la presse papier. Pour apporter un peu de bonheur aux personnes âgés, l’idée était d’aller leur distribuer les journaux et de leur montré les affiches des enfants, tout en discutant un peu avec eux.
Pendant ce temps, d’autres ont cherché des sujets pour leur article. Les rédacteurs avaient pour thème : l’écologie. De quoi leur ouvrir l’esprit sur l’actualité environnemental de leur région.
Un des sujets retenus a été la pollution lumineuse. Après s’être renseigné sur certains sites d’associations, les deux journalistes d’un jour, sont allées interviewer Sébastien Derrière, astronome et enseignant à l’université de Strasbourg. Pour compléter leur article, elles ont décidés de prendre des photos de nuit, afin de montrer l’étendu de la pollution lumineuse.
Le Jour J enfin là !
Nous voici le mardi 10 octobre au matin. Après un petit déjeuner offert par l’organisation, la classe des premières années en BTS communication a été divisé en deux groupes. D’un côté les rédacteurs, de l’autre les distributeurs.
Les rédacteurs ont travaillés dur une grande partie de la matinée pour rendre leur article. Ils leur a fallut plusieurs corrections par des journalistes professionnels des Dernières Nouvelles d’Alsace pour arriver à un résultat convenable. Les journalistes, avec beaucoup d’humeur, leurs ont donnés de nombreux conseils.
« Il faut mettre des interviews, un article sans interviews c’est un peu comme des pâtes sans sauce. Il faut mettre du pesto dans vos pâtes ! » Journaliste des dernières nouvelles d’Alsace
C’est enrichit de leur journée que les étudiants ont pu se retrouver à midi autour d’un sandwich afin de débriefer.
Amandine Rueff