Tous les articles par Marjorie Merkel

Ils ne demandaient qu’à danser l’amour

Ils ne demandaient qu'à danser l'amour
« Ils ne demandaient qu’à danser l’amour » de Elisabeth Hoffmann

L’oeuvre « ils ne demandaient qu’à danser l’amour » fait partie d’une série de tableaux qui s’appellent  « Cheminements et Réminiscences ». Elle parle des jeunes couples éclatants d’amour et de joie de vivre et dont l’espoir bascule dès le lendemain quand l’homme est enrôlé pour se faire massacrer à la guerre. Dans chaque oeuvre de la série, la partie en grisaille interpelle celle réalisée en couleurs à la façon dont un malheur questionne un bonheur de vivre.

Dans « Ils ne demandaient qu’à danser l’amour », un jeune couple danse. C’est jour de fête, la jeune fille tient une fleur à la bouche que son partenaire tente de saisir en riant. Ils sont amoureux. Ils rêvent de leur départ dans une vie qu’ils veulent construire ensemble, harmonieuse et féconde. De part et d’autre de la mise en scène centrale, gris sur gris cette fois, c’est un autre départ, celui d’un jeune homme – le même-, séparé de sa compagne, seul dans un flot sombre d’uniformes. L’incorporation de force a sonné pour lui, il est embrigadé vers la mort dans une guerre que ne le concerne pas et qu’il ne veut pas mais qui détruit tout.

http://elisabeth.hoffmann.pagesperso-orange.fr/

Grasser Estéban, Nicolas Julie

 

Quatre tableaux regorgeant de poésie orientale

 

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«Intérieur aux grenades ».
Huile sur toile
190×140 mm

Description : Le tapis s’introduit dans un palais déstructuré autour d’un grenadier. L’artiste met alors à plat le paysage qu’elle a pu observer lors de son voyage. Le grenadier est un arbre qu’elle apprécie et qu’elle a souhaité représenter dans son tableau.

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« Un tapis se déroule »

Huile sur toile
180×120 mm

Description : Le tapis enroule un jardin qui devient transportable – portatif. Il le fait disparaître afin de pouvoir dérouler le paysage n’importe où, à n’importe quel moment. C’est une métaphore de ses œuvres qui lui permette d’emporter avec elle les paysages qui l’ont marqué et faire profiter les personnes qui n’ont pas eu la chance de les voir en vrai.

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« Tapis au vent »
Huile sur toile
155×118 mm

Description : Le tableau représente des tapis qui animent le paysage et dansent dans le vent. Le vent symbolise le voyage, voyage que font ces tapis lorsque l’artiste les peint sur ses toiles.  

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« Aux marches du palais »
Huile sur toile
220×145 mm

Description : Le tableau représente des tapis qui animent le paysage et dansent dans le vent. Le vent symbolise le voyage, voyage que font ces tapis lorsque l’artiste les peint sur ses toiles.

Cariani Clara et La Berge Clervie , 1TCOM

Deux grenades

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Artiste : Liz Gartz
Nom de l’oeuvre : Deux grenades
Technique : Huile sur toile
Dimension: 60 x 60 cm

Interprétation : On remarque que la personne n’est pas présente physiquement mais on comprend son passage par rapport aux deux grenades qui sont sur la chaise ainsi que la chemise.
On peut supposer que c’est un homme et qu’il était assez pressé vu comme tout est disposé sur la chaise qui est l’élément principal.

L’artiste préfère que chacun interprète à sa façon, donne son avis et exprime ce qu’il ressent en voyant ce tableau. Cela permet de laisser la liberté d’imaginer ce que l’on veut.

Salomé Kranzer, Carole Schlienger et Pascaline Grisnaux, 1TCOM

 

« Petits bouts de monde »

Artiste : Vérok Gnos
Dimensions : 25 x 50 cm
Technique utilisée : laque sur plaque d’aluminium

verok gnos noir outremer grège - copie

verok gnos noir gris lin - copie

verok gnos noir bleu gris- copie

verok gnos gris argile- copie
Photos : Vérok Gnos


Description et interprétation

A travers ses tableaux, l’artiste ne cherche pas à montrer une image précise. Elle s’imprègne de la nature, des paysages qu’elle voit, pour ensuite retranscrire ses émotions et ses souvenirs sur la plaque d’aluminium.

Elle peint les paysages avec des couleurs qui reflètent son humeur. Ici, on voit des couleurs froides (nuances de gris, de noir, de beige ou encore de blanc), donc on peut penser qu’elle ressent une certaine nostalgie, ou encore de la tristesse. Si les couleurs était plus chaudes, plus vives, les émotions ressenties se rapprocheraient plus de la joie ou du bonheur.

L’artiste souhaite que le public se fasse sa propre interprétation des tableaux, qu’il s’imagine son propre « petit bout de monde ».
C’est pour cette raison que ces quatre tableaux s’appellent « Petits bouts de monde » ; elle ne veut pas qu’il y ait d’influence à cause du titre, justement pour que le public utilise son imagination, sa pensée pour dire ce qu’il voit. Chaque interprétation variera en fonction de la personne, il n’y en a pas une exacte ; une personne verra la mer tout comme une autre verra une montagne. Ce sont des opinions personnelles et uniques.

Jeux d’enfants

Geneviève Nicolet-Woelfli présente trois de ses œuvres à l’exposition Bureau 501 : 15 Candidats à l’Imagination.

L'aérospatialeLa première œuvre L’ aérospatiale (30 x 40 cm) nous montre un petit garçon qui joue avec un avion fabriqué avec du papier journal. L’avant de cet avion est réalisé avec un anneau. Et sur le côté gauche de l’œuvre on y trouve un bout de papier indiquant « Société Alsacienne de Constructions Mécaniques ».

Jusqu'au bout du monde

La seconde Jusqu’au bout du monde (40 x30 cm) décrit une petite fille assise dans un charriot en bois avec une plaque d’immatriculation 03 RZ 67.

Les petits bateaux

La dernière Les Petits Bateaux (40 x 90 cm) nous laisse apercevoir quatre enfants dont deux filles et deux garçons jouant avec des bateaux.

Ces œuvres ont plusieurs liens :
– les jeux d’enfants
– les compositions géométriques stylisées
– des coloris proches
– des intégrations de matériaux
– un style identique dans la manière de représenter des personnages entrain de jouer

SCHUBNEL Elisa et BENGAIED Houda 1TCOM

« Le matin des oiseaux »

Le matin des oiseaux

Huile sur toile peinte au couteau
80x80cm

Phtoto : Antoine Meyer
Phtoto : Antoine Meyer

Dans cette oeuvre, les couleurs dominante sont le bleu et le blanc. Ces deux couleurs s’inscrivent dans le style de peinture de notre artiste.
Avec ce tableau, Anne-Marie Reeb veut nous transporter dans son univers, dans sa passion mais surtout son passé.
Pour nous, une forêt ne représente qu’un paysage tandis qu’elle, voit tout autre chose. Elle, y voit une forme de liberté et de bonheur et c’est la sentiment dont elle veut nous faire part.
Nous voyons qu’une simple forêt mais chacun y voit autre chose et c’est pourquoi ses œuvres nous encouragent à exprimer notre pensée et à la partager….

Pourquoi ?

Pour cette sculpture Paul Nemet a trouvé l’inspiration en observant des jeunes qui attendent près d’un arrêt de tram à côté de chez lui, souvent les mêmes qui attendent assis sur une armoire électrique. Qu’attendent-ils ? Peuvent-ils attendre autre chose de la situation dans laquelle ils semblent être piégés ? On peut se demander pourquoi sont-ils là ? Sont-ils enfermés dans leur condition ?

-Pourquoi- P. NEMET
« Pourquoi ? » de Paul Nemet 110x35x15
-Pourquoi- P. NEMET 1
« Pourquoi ? » de Paul Nemet 110x35x15

La sculpture est construite autour d’une structure en acier, renforcée de résine acrylique et de plâtre teinté d’acryliques, de pastels, d’ocres. Patiemment le personnage prend forme, par ajouts, retraits de matière, de taille, de ponçage

Ensuite vient sa vision des choses, des personnages toujours étirés, aux jambes disproportionnées, un nez proéminent, un air désabusé, absent, des yeux clos synonymes du refus de voir notre monde tel qu’il est.

Alexandre Michel 1TCOM

L’art, une partie d’elle

Les étudiants du Lycée René Cassin, ont eu l’immense honneur de rencontrer des artistes de la galerie AIDA, avec laquelle le lycée est en partenariat. La rencontre avec les artistes nous a permis d’en savoir plus sur la manière dont ils réalisent leurs œuvres. Deux étudiantes sont parties à la rencontre de Geneviève Nicolet-Woelfli. Continuer la lecture de L’art, une partie d’elle

Vérok Gnos et ses petits bouts de monde

Qui a dit que les étudiants n’aimaient pas
l’art ? La Galerie AIDA et le Lycée René Cassin se sont donnés pour objectif de sensibiliser les élèves à l’art, et, pour ce faire, s’immerger dans le quotidien d’un(e) artiste. Voici l’interview de Vérok Gnos, une peintre et sculptrice passionnée par la nature que deux étudiantes ont pu suivre le temps d’un après-midi.

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Un artiste, une passion

Dans le projet du partenariat entre le lycée et la galerie AIDA de Strasbourg, les 1TCOM du Lycée René Cassin sont chargés de rencontrer les artistes pour mieux comprendre leur travail. L’objectif étant l’organisation d’une exposition collective dans l’établissement qui participera à la communication de la galerie. Trois d’entre eux ont rencontré Daniel Jung, un artiste passionné.

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