Archives de catégorie : Culture

Ils ne demandaient qu’à danser l’amour

Ils ne demandaient qu'à danser l'amour
« Ils ne demandaient qu’à danser l’amour » de Elisabeth Hoffmann

L’oeuvre « ils ne demandaient qu’à danser l’amour » fait partie d’une série de tableaux qui s’appellent  « Cheminements et Réminiscences ». Elle parle des jeunes couples éclatants d’amour et de joie de vivre et dont l’espoir bascule dès le lendemain quand l’homme est enrôlé pour se faire massacrer à la guerre. Dans chaque oeuvre de la série, la partie en grisaille interpelle celle réalisée en couleurs à la façon dont un malheur questionne un bonheur de vivre.

Dans « Ils ne demandaient qu’à danser l’amour », un jeune couple danse. C’est jour de fête, la jeune fille tient une fleur à la bouche que son partenaire tente de saisir en riant. Ils sont amoureux. Ils rêvent de leur départ dans une vie qu’ils veulent construire ensemble, harmonieuse et féconde. De part et d’autre de la mise en scène centrale, gris sur gris cette fois, c’est un autre départ, celui d’un jeune homme – le même-, séparé de sa compagne, seul dans un flot sombre d’uniformes. L’incorporation de force a sonné pour lui, il est embrigadé vers la mort dans une guerre que ne le concerne pas et qu’il ne veut pas mais qui détruit tout.

http://elisabeth.hoffmann.pagesperso-orange.fr/

Grasser Estéban, Nicolas Julie

 

Walk in New York-5

TABLEAU EXPOSITION LYCÉE CASSIN copie-min

Technique: Acrylique sur toile

 

C’est le premier tableau d’inspiration Street art où apparaît la signature SmaK-titi.

Il s’agit d’un personnage imaginaire qui nous observe, portant un regard espiègle sur le monde qui l’entoure. Nous sommes plongés dans un monde de couleurs vives, fluorescentes et contrastées.

Ce tableau dont le titre Walk in NY-5 fait partie d’une série de plusieurs « Walk in New York » dont l’inspiration est venue grâce aux balades  dans les rues de New York.

Quatre tableaux regorgeant de poésie orientale

 

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«Intérieur aux grenades ».
Huile sur toile
190×140 mm

Description : Le tapis s’introduit dans un palais déstructuré autour d’un grenadier. L’artiste met alors à plat le paysage qu’elle a pu observer lors de son voyage. Le grenadier est un arbre qu’elle apprécie et qu’elle a souhaité représenter dans son tableau.

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« Un tapis se déroule »

Huile sur toile
180×120 mm

Description : Le tapis enroule un jardin qui devient transportable – portatif. Il le fait disparaître afin de pouvoir dérouler le paysage n’importe où, à n’importe quel moment. C’est une métaphore de ses œuvres qui lui permette d’emporter avec elle les paysages qui l’ont marqué et faire profiter les personnes qui n’ont pas eu la chance de les voir en vrai.

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« Tapis au vent »
Huile sur toile
155×118 mm

Description : Le tableau représente des tapis qui animent le paysage et dansent dans le vent. Le vent symbolise le voyage, voyage que font ces tapis lorsque l’artiste les peint sur ses toiles.  

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« Aux marches du palais »
Huile sur toile
220×145 mm

Description : Le tableau représente des tapis qui animent le paysage et dansent dans le vent. Le vent symbolise le voyage, voyage que font ces tapis lorsque l’artiste les peint sur ses toiles.

Cariani Clara et La Berge Clervie , 1TCOM

« Tête », une oeuvre unique de Germain Sieffert.

Tête Germain Sieffert
Peinture intitulée « Tête », réalisée par Germain Sieffert

Germain Sieffert a réalisé un portrait d’une tête en grand format, nommé tout simplement “Tête”. Il s’agit d’une oeuvre unique, et non d’une reproduction, peinte à l’acrylique diluée à l’eau.
Les principales couleurs sont le jaune, le noir et le rouge, des couleurs qui interpellent et rehaussent l’œuvre. Il ne se soucie aucunement des détails de son oeuvre, il préfère le mouvement. Il  va directement à l’essentiel en faisant totalement abstraction du réel et en supprimant le superflux.

La signification de l’œuvre est propre à la perception et l’imagination de chacun, toute personne est donc libre de l’interpréter comme il l’entend.

Voici le lien du site de Germain Sieffert ainsi que de l’AIDA

Tiffany Collet et Manon Sturtzer, 1TCOM

 

« Petits bouts de monde »

Artiste : Vérok Gnos
Dimensions : 25 x 50 cm
Technique utilisée : laque sur plaque d’aluminium

verok gnos noir outremer grège - copie

verok gnos noir gris lin - copie

verok gnos noir bleu gris- copie

verok gnos gris argile- copie
Photos : Vérok Gnos


Description et interprétation

A travers ses tableaux, l’artiste ne cherche pas à montrer une image précise. Elle s’imprègne de la nature, des paysages qu’elle voit, pour ensuite retranscrire ses émotions et ses souvenirs sur la plaque d’aluminium.

Elle peint les paysages avec des couleurs qui reflètent son humeur. Ici, on voit des couleurs froides (nuances de gris, de noir, de beige ou encore de blanc), donc on peut penser qu’elle ressent une certaine nostalgie, ou encore de la tristesse. Si les couleurs était plus chaudes, plus vives, les émotions ressenties se rapprocheraient plus de la joie ou du bonheur.

L’artiste souhaite que le public se fasse sa propre interprétation des tableaux, qu’il s’imagine son propre « petit bout de monde ».
C’est pour cette raison que ces quatre tableaux s’appellent « Petits bouts de monde » ; elle ne veut pas qu’il y ait d’influence à cause du titre, justement pour que le public utilise son imagination, sa pensée pour dire ce qu’il voit. Chaque interprétation variera en fonction de la personne, il n’y en a pas une exacte ; une personne verra la mer tout comme une autre verra une montagne. Ce sont des opinions personnelles et uniques.

Margaux 1&2, Et si c’était elle…

L’oeuvre de Laurence Scheer se compose de quatre portraits et d’un buste. Les portraits mesurent chacun 20×20 cm et le buste, plus grand, 50×70 cm. La technique utilisée est l’huile sur toile.

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Madame Scheer a exécuté son travail en partant d’une photo d’étudiante.  C’est le choix de l’encadrement qui a son importance dans le jeu des portraits.  Les deux premiers, Margaux 1, sont présentés dans deux cadres anciens, dorés, qui font de de Margaux une jeune fille plutôt romantique et surtout intemporelle. On trouve ensuite les mêmes portraits, Margaux 2, dans un cadre noir, sobre, très contemporain. Une troisième œuvre, Et si c’était elle…  encadrée de la même manière mais bien plus grande, surplombe les portraits. Immédiatement, dans la plupart des cas, un parallèle se fait dans la tête de celui qui regarde : les portraits sont associés au corps. Un corps sans tête, des têtes sans corps …

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L’artiste souhaite nous rendre attentifs à des messages implicites délivrés par les images. Ceux-ci se portent sur la manière de positionner les choses, de faire appel à une certaine composition. Cela peut rapidement rappeler des idées, des stéréotypes, une histoire culturelle, émotionnelle ou esthétique sans qu’on y prête attention. La manière de placer les éléments peut être porteuse de sens, il faut donc en tenir compte voir s’en méfier.

Margaux Bodin, Antoine Adriano-Loeffler, Léo Ebel 1TCOM

 

 

Jeux d’enfants

Geneviève Nicolet-Woelfli présente trois de ses œuvres à l’exposition Bureau 501 : 15 Candidats à l’Imagination.

L'aérospatialeLa première œuvre L’ aérospatiale (30 x 40 cm) nous montre un petit garçon qui joue avec un avion fabriqué avec du papier journal. L’avant de cet avion est réalisé avec un anneau. Et sur le côté gauche de l’œuvre on y trouve un bout de papier indiquant « Société Alsacienne de Constructions Mécaniques ».

Jusqu'au bout du monde

La seconde Jusqu’au bout du monde (40 x30 cm) décrit une petite fille assise dans un charriot en bois avec une plaque d’immatriculation 03 RZ 67.

Les petits bateaux

La dernière Les Petits Bateaux (40 x 90 cm) nous laisse apercevoir quatre enfants dont deux filles et deux garçons jouant avec des bateaux.

Ces œuvres ont plusieurs liens :
– les jeux d’enfants
– les compositions géométriques stylisées
– des coloris proches
– des intégrations de matériaux
– un style identique dans la manière de représenter des personnages entrain de jouer

SCHUBNEL Elisa et BENGAIED Houda 1TCOM

L’art, une partie d’elle

Les étudiants du Lycée René Cassin, ont eu l’immense honneur de rencontrer des artistes de la galerie AIDA, avec laquelle le lycée est en partenariat. La rencontre avec les artistes nous a permis d’en savoir plus sur la manière dont ils réalisent leurs œuvres. Deux étudiantes sont parties à la rencontre de Geneviève Nicolet-Woelfli. Continuer la lecture de L’art, une partie d’elle

Vérok Gnos et ses petits bouts de monde

Qui a dit que les étudiants n’aimaient pas
l’art ? La Galerie AIDA et le Lycée René Cassin se sont donnés pour objectif de sensibiliser les élèves à l’art, et, pour ce faire, s’immerger dans le quotidien d’un(e) artiste. Voici l’interview de Vérok Gnos, une peintre et sculptrice passionnée par la nature que deux étudiantes ont pu suivre le temps d’un après-midi.

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